chevaux chien nuit femmes dieu dessin
Rechercher Derniers commentairesmerci, pour le com et l'infos je viendrai surement faire un tour sur votre site ,juste qu'actuellemen t je tra
Par hamouchezerrouki, le 26.05.2011
bonsoir,
le hangar est une communauté littéraire et artistique qui a pour but de réunir des lecteurs, de
Par Hazel, le 23.05.2011
chaque poèmes est accompagné d'une musique en bas, il faut juste cliquer sur playhttp://ham ouchezerrouki. cen
Par hamouchezerrouki, le 30.03.2011
· Les jardins de Cordoue
· Les mots glissent
· Comme le vent
· DE TOUTE MON AME
· J'habite
· les lumières
· ATAVIQUE
· Il est une nuit
· O LEILA
· abstraction d'un soir
· Offrir un écrin
· INCERTITUDE
· De la vie vers une vie
· Une pierre de sable
· ET POURTANT
Date de création : 29.03.2011
Dernière mise à jour :
01.04.2011
23 articles
BUVEUR
DU CIEL ET DU VENT.
Des
sources insolentes descendes la montagne
prenant leur source aux
confins des dieux.
Les poussières obstruent les rides du
temps
je suis le corps de ce chien
dans un silence
d'abnégation
la chaleur riposte et ma tête claque du choc
infernal.
Un tombeau caché ouvre le socle de la lumière
O
terre et ciel de l'univers mes retours affectent ma vue
et je
descend ahurie de l'arbre isolé.
Une turpitude de crie
raisonne et j'enlève ce manteau de lin de la blessure
j'essuie
les larmes
et entonne des prières inutiles.
O ma mère
ton fils se perd dans l'altitude
de ta cellule
embryonnaire
déferlement des troupes de l'absurde
un coin
perdu entre moi et l'idée perplexe.
Descendu de nul part mon
père parle à la peau qui m'habite
et qui crie avec moi ma
perdition.
Résonnant comme l'écho d'un temple
les voix
hilares courent derrière une multitude d"écriture.
La
rue est confuse et ma question
tombe comme une pierre dans le
fracas
de fin d'un monde d'amertume.
Les femmes pleureuses
enterrent dans un mausolée
le dernier vagabond de la cité.
Je
ressuscite et vagabonde à la recherche
des étoiles qui glissent
le long de mes bras poussières et brasiers ,je me consume
dans
l'enfer qui m'atteins en plein cœur.
O mère ! ton fils
s'enfonce dans le sable mouvant
d'une drôle de scène
pleure
et fais le deuil de sa mémoire en chanson.
Ahurie, fou de
joie, la tribu prépare les noces
du loup et de l'aveugle
sans
nul doute la table sera dressé au dessus des vieilles
murailles.
Verbe de la déchirure, je rie avec dieu
verbe
de l'oubli fait l'offrande sacré à la terre des hommes
verbe des
ancrages et de la mémoire enfouie
la respiration plonge au creux
d'un éternel souffle.
Dépassé par les vibrations je m'abime
dans un trajectoire
au dessus des cimes de la palabre
intime.
Émergence , naissance dans une ruelle du
point
attablé avec le ripailleur et le clandestin
nous nous
racontons des bribes de mémoire en buvant du vin
je chaparde au
temps les couloirs de la discussion.
Verbe! O verbe ! promène
tes coups saignants à l'orée du cheminement symbolique
et affute
ta lame pour que ma blessure rejaillisse en éclats lumineux.
Verbe
de la démesure, emporte avec toi l'écume des sentiments
et
délivre le ciel des remords
aligne les noms un a un , j'offrirai
le cycle de la vie aux ténèbres.
Verbe de mon père ! dis
moi
comment les passagers du désert et de la nuit
sont
devenus buveurs du ciel et du vent ?
ZERROUKI
HAMOUCHE 2011